Profondément aimés
Il y a longtemps, j’avais un bureau à Boston d’où je pouvais voir le Granary Burying Ground, où un grand nombre d’illustres héros américains ont été inhumés. On peut y trouver la pierre tombale de John Hancock et celle de Samuel Adams, deux signataires de la Déclaration d’indépendance, et à quelques mètres d’elles se trouve l’épitaphe de Paul Revere.
Qu’est-ce qu’un koala ?
Récemment, j’ai lu un article qui présentait 12 demivérités que nous admettons couramment comme des faits. En voici quelques-unes : les cacahuètes ne sont pas des noix, mais des légumineuses, le palmier n’est pas un arbre, mais une plante qui fleurit, le koala n’est pas un ours, mais fait partie des marsupiaux, et un cent coûte en réalité deux cents à fabriquer. Qu’elles soient importantes ou non, nous baignons tous dans ces demi-vérités.
Lever les yeux vers le ciel
Un article de la revue Surgical Technology International indique que le fait de baisser les yeux sur un téléphone intelligent en inclinant la tête équivaut à se mettre un poids de 27 kg sur la nuque. Comme partout dans le monde des millions de gens passent en moyenne deux à quatre heures par jour à lire et à texter, les dommages ainsi causés à leur nuque et à leur épine dorsale deviennent un problème de santé croissant.
Déclaration incroyable
Je trouve souvent devant ma porte des publicités annonçant des services comme l’aménagement paysager, le nettoyage de gouttières ou la lutte antiparasitaire. Un jour, un pamphlet d’une autre sorte s’est trouvé sur mon tapis d’entrée. On y lisait de nombreux versets qui semblaient tous justes. Le dépliant expliquait aussi qui était Jésus, mais en y regardant de plus près, j’ai remarqué qu’on ne le décrivait pas correctement. L’éditeur de la brochure niait que Jésus était réellement Dieu.
Mon espace personnel
Dans le cadre d’un atelier, on a mis une diplômée en design industriel de l’université de Singapour au défi de trouver une solution novatrice à un problème courant en n’utilisant que des objets ordinaires. Elle a créé une veste empêchant que son espace personnel soit envahi par les autres passagers serrés comme des sardines dans les moyens de transport public. Cette veste était couverte de longs piquants de plastique flexible servant normalement à garder les oiseaux et les chats à distance des plantes.
Se renier soi-même
Un pasteur plein de sagesse confiait ceci à sa nouvelle directrice de louanges : « J’espère que vous ne jouerez jamais un certain style de musique dans notre église. » Elle saisit un stylo et lui demanda : « Quel est-il ? » Il répondit : « Je ne vous le dirai jamais. Si nous insistons tous pour faire les choses à notre manière, nous ne chanterons plus rien. »
Prendre soin de soi-même
Après que mon mari a subi une chirurgie cardiaque, j’ai passé la nuit à angoisser à son chevet. Au milieu de la matinée, je me suis rappelé mon rendez-vous pour une coupe de cheveux. « Je vais devoir l’annuler », ai-je affirmé, en passant distraitement la main dans ma chevelure en désordre.
L’appel de Caedmon
Au VIIIe siècle, un ouvrier agricole nommé Caedmon servait à l’abbaye de Whitby dans le nord de l’Angleterre. Une nuit, il a fait un rêve extraordinaire, dans lequel quelqu’un lui demandait d’entonner un chant sur la Création. Étant agriculteur et non chanteur, il a d’abord refusé, mais au fil du rêve, il a effectivement composé un chant de louange au Créateur.
Le rappel d’Abigaïl
David et quatre cents de ses guerriers parcouraient bruyamment la campagne à la poursuite de Nabal, une brute prospère leur ayant durement refusé son aide. Sans l’intervention d’Abigaïl, David l’aurait d’ailleurs tué. Dans l’espoir de prévenir une catastrophe, la femme de Nabal était allée au-devant des soldats vindicatifs en emportant de quoi nourrir toute une armée. Puis elle a respectueusement rappelé à David que, s’il mettait à exécution son projet de vengeance (1 S 25.31), la culpabilité le hanterait par la suite. Comprenant qu’elle avait raison, David l’a bénie d’avoir fait preuve d’un aussi bon jugement.
Sortir des sentiers battus
Je suis allé au collège biblique alors que j’avais une femme et deux enfants, et que j’étais sans le sou ! Nous étions certains que Dieu m’avait appelé à m’inscrire au collège, même si nous ne savions pas exactement pourquoi. Après avoir compris que nous n’avions pas les moyens de louer une maison près du collège, nous avons fait connaître notre besoin à Dieu.